12 - Créer des offres qui te font vraiment kiffer !

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Date
12/28/2022
Durée
21mn 40sec

Intro

Salut à toi et bienvenue dans ce nouvel épisode de Libère Ton Moxie, le podcast créatif où on dégomme le syndrôme de l’imposture, un épisode à la fois.

Moi c’est Amélie, je suis stratège de marque et coach pour les freelances créatives et créatifs. Le “moxie”, c’est cette petite étincelle qu’on à tous et toutes au fond de nous, mais qu’on a souvent peur de laisser s’exprimer. Alors ici, on se serre les coudes ensemble pour grandir, oser, et se construire un business créatif qui soit kiffant & rentable !

C’est parti pour ce nouvel épisode !

Sujet du jour

Aujourd’hui, on va parler d’offres. Tes offres, c’est ce qui constitue la base de ton activité. C’est un peu la structure sur laquelle tu vas ensuite organiser ton temps et ton énergie pour gagner ta vie avec ton entreprise, tout simplement.

Et souvent, en particulier lorsqu’on débute, on a tendance à construire nos offres sur trois critères :

  1. Le type d’offres qu’on voit sur notre marché, dans notre domaine
  2. Ce à quoi on a été habitué.e dans notre expérience salariale
  3. Ce qu’on voit de façon générale dans notre environnement professionnel et personnel

Le problème avec ce schéma de construction d’offre, c’est qu’il ne se base que sur des éléments extérieurs. Avec schéma, à aucun moment, on a l’occasion de prendre en compte notre façon de fonctionner, nos niveaux d’énergie, notre vision de la vie, nos personnalités etc.

Le résultat ? C’est qu’on finit par s’épuiser dans des modèles un peu “normés” finalement, dans des rythmes et des processus de travail qui ne nous conviennent pas, un peu comme à l’école ou dans le salariat finalement.

Sur les 2 dernières semaines, j’ai accompagnée quatre personnes en coaching, qui partageaient, entre autre, cette même problématique : elles ne s’épanouissent plus dans la prestation clientèle, mais elles ont du mal à voir ce qu’elles pourraient bien faire d’autre.

Et c’est une problématique que je partage profondément, parce que je suis moi-même en train de revoir la typologie de mes offres, pour petit à petit, ne plus vendre mon temps sur des prestations de services de plusieurs mois.

Donc j’ai eu envie de creuser un peu le sujet, et le but de cet épisode, c’est de te proposer une méthode de création d’offre qui soit réellement basée sur toi et ta personnalité, et de te donner des exemples de formats d’offres dont tu ignores peut-être l’existence aujourd’hui (comme moi j’en ignorais l’existence il y a quelques mois), et qui te permettent de ne plus uniquement vendre ton temps.

Pourquoi certaines personnes s’épuisent dans les prestations clientèles ?

Avant d’aller plus loin, j’ai envie de remercier les personnes qui m’ont inspiré cet épisode au fil des conversations, et à Doria, alias l’Enjouée, qui m’a suggéré l’idée d’en faire un épisode. C’est hyper précieux de pouvoir échanger, enrichir nos connaissances, et grandir ensemble dans cette belle aventure entrepreneuriale en fait, donc merci à elles de faire partie de la mienne. D’ailleurs, j’ai mis les liens de leurs comptes Instagram dans la description de l’épisode et je t’invite évidemment à aller voir le travail qu’iels font et qui est évidemment, très très cool.

Du coup, pourquoi est-ce que certaines personnes s’épuisent dans les prestations clientèle ? Déjà, par “prestation clientèle”, j’entends les types d’offres où tu vends ton temps et ton expertise pour réaliser des choses pour ta clientèle, et qui prennent en général plusieurs semaines, voire plusieurs mois. Donc par exemple, des prestations d’identités visuelles, d’illustrations, de sites web, de gamification, de copywriting. Bref, la liste est longue, mais globalement le schéma identique est : toi derrière ton ordinateur qui passe beaucoup d’heures à créer POUR ta clientèle.

Là, si tu te dis : “Euh…ok, mais y a pas genre QUE ça comme type d’offre si tu es freelance en fait ?” Installe-toi et prends un café, parce que non, la bonne nouvelle, c’est qu’il n’y a pas que ça.

Mais avant d’aller explorer les autres options, j’ai bien envie qu’on voit ensemble pourquoi, ce format d’offre peu ne pas convenir à certaines personnes.

Et là, j’ai envie de te poser deux questions, les mêmes questions que je pose souvent en coaching quand on parle d’offre :

Est-ce que tu remarques un changement d’énergie et d’émotions lorsque tu crées pour ta clientèle, versus quand tu crées pour ton propre business ?

Est-ce que tu te retrouves souvent à procrastiner et à perdre de la motivation dans tes projets clientèle ?

Si ta réponse est oui, à au moins l’une de ces deux questions, c’est que peut-être, ce type d’offre n’est tout simplement pas ce qu’il te faut à toi non plus, et c’est OK.

Parce qu’il y a pas mal de culpabilité qui s’installe en fait, quand on se rend compte qu’on perd de la motivation sur un projet clientèle, alors qu’on apprécie le sujet et la personne avec qui on bosse. On a un peu l’impression d’être égoïste en fait. Genre omg je préfère bosser sur mes trucs à moi plutôt que pour mes clients clientes, et en plus iels me payent, donc ça se fait pas de procrastiner etc., etc.

Le truc avec les prestations clientèle, c’est que tu vends ton temps.

Donc pour augmenter ton chiffre d’affaire et vivre de ton activité, tu dois soit augmenter tes prix, soit augmenter le nombre de prestations que tu fais.

Souvent, c’est la deuxième option. Parce que hein, augmenter ses prix, on sait bien quelle galère c’est et ça se fait pas du jour au lendemain. (rires)

Peso, quand je ne faisais que de graphisme et des sites web, il m’arrivait de passer des semaines sans avoir le temps de mettre à jour mon site web, de créer du contenu pour mes réseaux sociaux, de créer des trucs juste pour moi en fait.

Et c’est ça le problème, quand tu vends ton temps, ben t’en as moins pour toi. CQFD.

Tu finis par travailler DANS ton business et pas SUR ton business.

Et quand tu as un cerveau créatif, qui s’épanouie dans le fait d’explorer, d’inventer, de créer des trucs et que tu perds non seulement ce temps précieux, mais aussi la flexibilité et la liberté de créer selon tes propres règles (parce que quand tu bosses pour des clients clientes ben tu as des contraintes, un cadre à respecter etc.) ben souvent c’est hyper frustrant, voire épuisant.

L’autre cas de figure qui peut faire que tu t’épuises dans la prestation clientèle, c’est tout simplement si tu as une personnalité qui te pousse naturellement à créer et transmettre, plutôt qu’à mettre en pratique et produire. Donc une personnalité qui est naturellement plus “leader”, que “en coulisse”. Et là, j’insiste vraiment sur le fait qu’il n’y a pas de meilleure version, et sur le fait que “leader”, ne veut pas dire horrible personne qui donne des ordre.

Une personne “leader” c’est tout simplement une personne qui va naturellement avoir des capacités à guider, influencer, et inspirer les autres, et qui va s’épanouir davantage en initiant des projets, en créant des choses dans son coin, et/ou en les encadrant.

En parallèle, il y a les personnes qui vont adorer bénéficier d’une structure créer par quelqu’un d’autre, et s’épanouir en étant en coulisse à mettre des choses en pratique et à exercer leur magie pour mener le projet à bien.

Alors, ce sont deux tendances, deux pôles, et c’est important de nuancer aussi quand on parle de polarité. La plupart du temps, on a en nous un peu des deux, mais avec une tendance plus forte d’un côté ou de l’autre.

Si tu fais partie des gens qui sont plutôt du côté “leader”, ou disons plutôt même, électron libre, ben le schéma de prestation clientèle ne te conviendra peut-être pas.

Pourquoi ? Parce qu’il est basé sur une structure de subordination et de cadre.

Même si tu adores ta clientèle et leur projet, il n’en reste pas moins que tu travailles pour elleux, et que ces personnes te payent pour réaliser des choses pour elleux.

Ça crée une dynamique dans laquelle la valeur de ton travail est subordonnée à l’approbation de tes clients clientes.

Si iels apprécient ce que tu fais, c’est le plus beau jour de ta vie, mais si iels n’aiment pas, tu remets en question toute ta valeur en temps que freelance et tu vas te gaver de glace et de chocolat pour faire passer la pillule.

High five à toi si tu t’es reconnu.e dans ce scénario. (rires)

La méthode “introspective” pour créer des offres alignées

Du coup, c’est bien beau tout ça, mais qu’est-ce qu’on peut faire d’autres, quand on a toujours fait que de la prestation clientèle ?

La bonne nouvelle, c’est qu’il y a plein d’autres solutions, si on s’autorise à les explorer.

Et pour s’autoriser à les explorer, il faut dépasser certaines peurs et certaines croyances limitantes. Pour beaucoup de freelances, la prestation clientèle, c’est le seul format qu’on a connu et celui qu’on voit le plus souvent autours de nous. Du coup, non seulement ça peut faire peur parce qu’on plonge dans l’inconnu, mais c’est surtout qu’on ne sait tout simplement pas ce qu’il existe d’autre.

Mais avant qu’on explore ensemble toutes les possibilités, j’aimerais qu’on revienne sur la méthode de construction de tes offres.

Au début de l’épisode, je disais que le plus souvent, on calque nos offres sur ce qu’on voit sur notre marché, et sur ce à quoi on a été habitué.e dans le salariat ou dans notre entourage. Ce schéma-là fait qu’on se base uniquement sur les éléments extérieurs pour construire nos offres.

Et ça, non seulement c’est pas kiffant du tout, mais en plus c’est très contre-intuitif.

Je crois qu’il faut qu’on ré-apprenne, collectivement, à s’écouter, et à se connaître pour faire des choses réellement en accord avec nos personnalités et nos aspirations.

Donc si aujourd’hui, tu ressens de la frustration ou du stress dans tes prestations clientèle, ça ne fait pas de toi une mauvaise personne, déjà. Ça fait simplement de toi quelqu’un qui n’est peut-être pas fait pour ça, tout simplement.

Donc si c’est ton cas, à la place de là méthode “éléments externes”, je t’invite à en essayer une autre, qui elle, utilise des éléments internes et propres à soi, et qui peut te permettre de créer des offres qui capitaliseront sur tes forces et tes zones de génie à toi.

La première question à se poser, c’est : de façon générale, qu’est-ce que tu préfères faire dans toutes les tâches que tu accomplies pour ton activité ? Quelles sont les choses qui te procurent le plus de plaisir, et le moins de stress ?

Dans le flot de tout ce qu’ont fait en entrepreneuriat et des différentes casquettes qu’on porte, on oublie parfois de simplement prendre le temps d’analyser ce qu’on préfère faire. Pourtant, ben c’est justement là que sont les réponses.

Ensuite, tu peux essayer d’analyser une journée type “procrastination”.Genre quand tu passes une journée où vraiment, ça veut pas. T’as pas d’inspiration, pas d’énergie et juste envie de prendre racine sur ton canapé alors que t’as une to-do liste longue comme le bras, vers quelle tâche est-ce que tu vas instinctivement ?

Le but de ces deux questions, c’est tout simplement de faire remonter à la surface ce qui te fait kiffer le plus, ce vers quoi ton énergie va naturellement.

La dernière question, qui n’est pas une question mais plutôt un levier, c’est d’analyser tes niveaux d’énergie sur les différentes tâches que tu fais. Tu peux le faire sur l’ensemble des tâches que tu accomplies dans ton entreprise, mais aussi de façon plus centrée, sur un projet clientèle précis.

Pour guider ton introspection, tu peux te poser les questions suivantes :

  • “Qu’est-ce que j’ai préféré faire ?
  • À quels moments j’étais le plus en confiance ?
  • À quels moments j’étais le plus à l’aise ?
  • Et inversement, à quels moments j’étais le plus en stress ou déstabilisé·e ?

Le but, c’est d’analyser les situations et les formats qui nous apportent le plus d’émotions agréables. Personnellement, j’ai passé des mois à me sentir de moins en moins confortable dans des prestations de longues de design de marque, donc deux mois ou plus, et je ne comprenais pas vraiment pourquoi, parce que j’aimais les projets et les personnes avec lesquelles je travaillais. En faisant cette analyse, je me suis rendue compte que les moments où j’étais le plus en confiance et en énergie haute, c’étaient :

  • les visioconférences où on réfléchissait ensemble aux bases de la marque, aux valeurs, etc., toute la partie stratégique et mindset
  • Et au niveau des formats et du rythme, les séquences de travail assez rapprochées, où surfe un petit peu sur la synergie et le momentum, en quelques sortes.

Ça m’a pris quelques mois de réflexion, mais au bout du compte c’est ce travail qui m’a amené à la décision de concentrer mes offres sur la stratégie de marque et le coaching et de mettre en place des formats plus courts pour de plus étirer mon énergie dans le temps.

Donc si toi aussi tu ressens que la prestation clientèle n’est plus aussi épanouissante, je t’invite à faire cette introspection, et surtout à t’autoriser à envisager autre chose.

D’autres types d’offres à explorer

Et une fois que c’est fait, on peut passer à la question à 3 milliards : qu’est-ce qu’on fait si on ne fait plus de prestation clientèle ?

Alors, la bonne nouvelle, c’est qu’il y a une multitude de possibilités.

La mauvaise, c’est qu’il va falloir trier, et surtout tester, parce qu’on ne peut pas savoir à l’avance ce qui va nous plaire.

Mais en fonction des informations que tu auras identifiées en faisant ton introspection, tu sauras sûrement si tu préfères des formats écrits ou vidéo, des projets longs ou plus courts, des choses qui te prennent pas mal de temps ou au contraire qui te permettent d’être dans une forme de “slowpreneuriat”, etc.

Je crois que le plus gros shift à réaliser, il au niveau mental en fait. Parce que quand tu décides de lâcher la prestation de service, ça veut dire, le plus souvent, que tu passes de freelance à infopreneur·euse. Le rapport à ton expertise s’inverse, le rapport à l’argent s’inverse, la dynamique de démarchage s’inverse aussi.

En gros, la plupart du temps, on passe de créer pour les gens, à enseigner aux gens à faire pour elleux-mêmes.

Et je pense qu’il y a toujours un travail à faire au niveau de la légitimité quand c’est le cas.

On ne peut plus se cacher derrière cette dynamique de subordination, il faut accepter de prendre les rênes et d’être dans une position où notre expertise est davantage sur le devant de la scène, puisqu’on va être un peu plus dans une position de pédagogue, de personne qui transmet des connaissance etc.

Parce qu’au niveau des formats d’offres, alors il y en a plein, mais le plus souvent on est sur des offres où on vend soit de l’information, soit une expérience d’apprentissage dans des ateliers ou des masterclass etc.

Du coup, au niveau types d’offres, on va avoir :

  • des formations ou des cours en ligne
  • des ateliers ou workshops
  • des masterclass
  • des documents aussi, tout ce qui est template etc.
  • la vente de créations via des sites comme RedBubble
  • des services de coaching, de consulting

Bon, pour que ce soit un peu plus parlant, on va partir sur un cas pratique avec l’exemple d’Aurore Bay, qui est une illustratrice qui j’aime beaucoup et que pas mal d’entre doivent sûrement connaître. Depuis l’année dernière, Aurore a commencé à mettre en pratique une stratégie de marque dans laquelle s’insère des offres dites “passives”. Donc des offres où elle vend des connaissances et de l’expertise, plutôt que son temps de création.

Elle a gardé les prestations clientèle, mais elle commence vraiment à passer du côté “créatrice de contenu” avec pour audience cible les illustrateurices. Elle a notamment sorti deux produits : un cours en ligne pour bien lancer son compte Instagram quand on est dans l’illustration, et une formation pour lancer et développer son activité d’illustrateurice.

Donc là, on voit vraiment le parti pris de passer artiste-auteurice qui fait des prestations clientèle, à infopreneuse, créatrice de contenu, tout en restant dans sa thématique et en faisant ce qu’elle aime.

Ce que je trouve assez cool avec la stratégie actuelle d’Aurore, c’est que c’est aussi un exemple qu’on est pas obligé.e de choisir l’un ou l’autre, on est pas obligé.e d’aller vers l’une ou l’autre des polarités, on peut très bien continuer à faire des prestations clientèle, tout en incorporant d’autres formats d’offres pour trouver un équilibre qui nous convienne, et ne plus dédier notre temps uniquement aux prestations clientèle si on se rend compte qu’on pas 100% épanoui.e là-dedans.

Et enfin, avant de clore cet épisode, j’aimerais aussi te dire qui si aujourd’hui, tu ne te sens pas 100% épanoui.e en prestation clientèle, mais que c’est difficile pour toi d’envisager autre chose pour l’instant, soit parce que tes services ou ton domaine te le permette difficilement, ou tout simplement parce que tu ne te sens pas prêt ou prête, ben c’est OK.

Il y a aussi plein de petites choses qu’on peut changer et améliorer, pour construire des offres de prestations qui soit plus alignées avec nos énergies et nos façons de fonctionner.Parce que la bonne nouvelle, c’est que t’es chez toi ! Tu as le droit de changer de choses qui ne conviennent pas.

Moi par exemple, je me suis rendue compte que faire mes débriefing de coaching sous forme de PDF, ça me prenait beaucoup d’énergie, je ne trouvais pas ça très fun à faire, et ce n’était pas hyper interactif non plus pour ma clientèle. Du coup, j’ai décidé récemment de faire les faire sous forme de petit espace Notion avec une vidéo explicative. Ça peut paraître plus de travail pour certaines personnes, mais pour moi, c’est l’inverse. Je reste sur une énergie haute parce que je trouve ça fun, du coup je suis plus productive, ça me prend moins de temps, et ça ajoute de la valeur à mes offres. Donc gagnant-gagnant, mais ça m’a pris un temps avec d’oser le faire, avant d’oser mais attends…Si j’aime pas ça faire des PDF, pourquoi j’en fais, en fait ?

Donc vraiment, je t’invite à prendre le temps d’explorer les options possibles pour toi, et ce vers quoi ton énergie va naturellement.

Parce que tes offres, elles font partie intégrante de ta stratégie de marque, et elles peuvent aussi devenir un élément de différentiation, et de kiffe !

On arrive à la fin de cet épisode, donc c’est le moment où je te dis que si tu te sens complètement perdu.e avec tes offres actuellement, il y a des solutions. Si tout ce dont on vient de parler t’inspire, et que tu souhaites te faire aider pour lever un peu le brouillard sur tes problématiques, je serais ravie de le faire avec toi. Actuellement il me reste quelques places en coaching de 1h et 2h, donc je te mets les liens dans la description, et je t’invite à venir papoter avec moi pour qu’on discute de comment ramener un peu de moxie dans tes offres pour que tu te sentes pleinement en confiance !

Outro

Si tu as aimé cet épisode, je t’invite à le partager sur tes réseaux sociaux et à me mettre des petites étoiles pour qu’il arrive dans les oreilles de plein d’autres créatives et créatifs.

Il ne me reste plus qu’à te souhaiter une très belle semaine, pleine d’audace et de moxie !

À lundi prochain.